Jus d’orange (2014-2015)
Au Brésil, des milliers de cueilleurs d’oranges sont prisonniers d’un système qui les maintient dans des conditions proches de l’esclavage. Qui tire les ficelles de ce jeu inégal ? Essentiellement trois grandes entreprises. Ne laissons pas une poignée de multinationales décider des règles du jus !
Ne laissons pas une poignée de multinationales décider des règles du jus
Au Brésil, des milliers de cueilleurs d’oranges sont prisonniers d’un système qui les maintient dans des conditions proches de l’esclavage. Qui tire les ficelles de ce jeu inégal ? Essentiellement trois multinationales. Elles se mettent d’accord à trois pour se partager ce juteux marché et en fixer les règles. Leur nom ne vous dira rien. Pourtant, c’est leur jus que vous buvez probablement au petit déjeuner, loin de vous douter de l’envers du décor.
Comment agir
Face aux injustices qui secouent le marché de l’orange, il est légitime d’être indigné. Que peut-on faire ici pour changer de telles injustices ? Nous proposons trois gestes à votre portée. N’oubliez pas que tous les grands combats sociaux ont été gagnés par l’accumulation de petites victoires !
- S’informer et faire passer le message dans ton école : en lisant par exemple le dossier de campagne reçu par ton JM-Oxfam ou sur la page de campagne
- Acheter de manière responsable en privilégiant du jus d’orange issu du commerce équitable.
- Interpeller le monde politique : en signant la pétition www.pressescommedesoranges.be et/ou en envoyant un mail avec la pétition à la commissaire européenne en charge du commerce.